Le chef conservateur Pierre Poilièvre était à Saguenay jeudi pour annoncer pour dévoiler sa stratégie son plan afin d’accélérer l’achèvement du projet GNL Québec, en le désignant comme une « zone canadienne prête à bâtir ».
Sur les terrains de l’entreprise jonquiéroise Fabmec, et à trois jours du déclenchement de l’élection fédérale, M. Poilièvre a présenté sa stratégie, visant à concrétiser tout projet majeur comme GNL sur le territoire. Il s’agit de nouvelles zones qui seront des zones pré approuvées et préautorisées pour la construction de grands projets tels que des mines, des centres de données, des centrales électriques et des usines de liquéfaction du type de GNL.
Voici comment il en a fait l’annonce.
L’initiative sera donc de mettre en place des terrains clés en mains ou tout inclus, avec permis, zonage déterminé, etc…, le tout ce concert avec les différentes instances.
Pierre Poilièvre s’est alors fait rappeler que lors du refus du projet de GNL Québec, l’acceptabilité sociale n’était pas au rendez-vous. Le chef a alors sous-entendu qu’avec ce qui se passe maintenant dans les relations avec les américains, l’acceptabilité sociale sera définitivement de la partie, selon lui.
Pierre Poilièvre croit qu’un projet comme GNL peut se réaliser à La Baie, et que les promoteurs seront bel et bien au rendez-vous.
À lire également, sur le même sujet, l'éditorial de Richard Banford "GNL Québec revient sur la sellette" https://ckaj.org/gnl-revient-sur-la-sellette/
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