Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.
Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ...
Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.
La Cour d’Appel annule l’absolution dont avait fait l’objet l’ingénieur Simon Houle pour agression sexuelle, et le condamne à un an de prison, qu’il devra commencer à purger d’ici la semaine prochaine. Rappelons que l’ingénieur avait agressé sexuellement une femme assoupie en plus d’avoir pris des photos des parties intimes de celle-ci.
Coupable d’agression sexuelle et de voyeurisme, La Presse rappelle que Simon Houle avait ainsi profité de la clémence du juge Matthieu Poliquin en juin 2022. Alors que la Couronne réclamait au moins 15 mois de prison, l’ingénieur s’en était tiré avec une absolution conditionnelle, une peine très peu sévère. Cette décision avait provoqué une levée de boucliers dans la société civile, menant notamment à des manifestations devant les palais de justice. Des élus avaient même publiquement dénoncé cette décision.
Le plus haut tribunal de la province a relevé de nombreuses erreurs commises par le juge Poliquin. La Cour d’appel reproche au juge de première instance d’avoir occulté certains facteurs aggravants liés au voyeurisme, particulièrement le nombre de photos, leur contenu et le fait qu’elles soient demeurées accessibles pendant un mois et demi dans le téléphone de l’accusé. Il a de plus montré ces photos à un ami. Simon Houle devra se rendre aux autorités d’ici le 30 janvier.
(418) 546-2525
ckaj@ckaj.org