Le climat malsain qui prévaut au sein d’un département de l’UQAC amène des questionnements au sein de la communauté étudiante. On se rappelle qu’en raison de ce climat toxique, l’Université du Québec à Chicoutimi a décrété la mise sous tutelle partielle du département de l’Unité d’enseignement en sciences du langage et communication.

L'association étudiante du MAGE-UQAC insiste sur le fait que cette mise sous tutelle doit se traduire par des résultats tangibles pour les étudiants, et la question de la toxicité du climat doit impérativement être réglée pour assurer leur bien-être et leur réussite.

Réaction UQAC

De son côté, la porte-parole de l’établissement, Marie-France Audet, a fait valoir par courriel au 92,5 Ma radio d’Ici que la direction est bien au fait des préoccupations soulevées par certains étudiants et étudiantes du baccalauréat en sciences du langage. Ceux-ci ont d’ailleurs été rencontrés et ont reçu des réponses à leurs questions. Mme Audet précise que la direction a également réitéré, lundi, son ouverture à planifier une nouvelle rencontre avec Manu Tranquard, doyen des études, qui a été désigné comme autorité responsable de la gestion des programmes et de l’encadrement des étudiants et étudiantes de l’Unité d’enseignement en sciences du langage et communication. Les étudiants et étudiantes ont toutefois choisi de ne pas donner suite à cette proposition pour l’instant.

L’UQAC conclut sa missive en mentionnant que les mécanismes d’accompagnement sont en place et que les étudiants et étudiantes sont encouragés à s’en prévaloir.