Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.
Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ...
Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.
Le débat des candidats à la chefferie du Parti libéral du Canada (PLQ), qui s'est tenu à Montréal lundi, a été un véritable test linguistique pour les quatre protagonistes qui veulent succéder à Justin Trudeau à titre de premier ministre le 9 mars prochain. L’ambiance était à l’unité, plutôt qu’à la discorde, lors de ce premier débat effectué dans la langue de Molière.
Le favori dans la course, Mark Carney, ainsi que la candidate Karina Gould, ne se sont pas gênés pour rappeler à l’ex vice-première ministre Freeland que l’actuel président américain est en fait une version 2.0 de ce qu’il était auparavant, lors de son premier mandat. De son côté, l’ancien député de Pierrefonds-Dollard, Frank Baylis, a fait savoir que son statut d’homme d’affaires fait de lui un aspirant sérieux, mentionnant qu’il a « négocié déjà des centaines et des centaines de contrats avec des Américains ».
Bien que les aspirants à la chefferie semblent être en accord concernant le transfert aux provinces et l’unification des canadiens face aux tarifs douaniers qui menacent le pays en mars prochain, il n’en reste pas moins que le français a semblé nuire à Mark Carney. Ce dernier a commis tout un lapsus en mentionnant qu’il était en accord avec Hamas, pour immédiatement corriger son erreur et répéter le mot « contre » à trois reprises, pour rectifier le tir.
Le Devoir mentionne qu’il n’en fallait pas plus pour que les conservateurs profitent de cette bourde pour répandre le lapsus sur les réseaux sociaux. L’ancien chef d’antenne de TVA, Pierre Jobin agissait en tant que modérateur du débat en français au Studio MELS de Montréal et c’est l’ancienne animatrice de la société d’État anglophone CBC, Hannah Thibodeau, qui veillera au bon déroulement des échanges au même endroit mardi.
(418) 546-2525
ckaj@ckaj.org