Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.
Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ...
Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.
Le juge de la Cour supérieure, Jocelyn Pilote, a statué que la Ville de Saguenay n’interviendra pas dans le dossier de Jean-Luc Roberge, qui l’oppose à la Société de transport de Saguenay (STS).
Le juge mentionne également que les représentants de la Ville devront être accompagnés d’un avocat, afin de pouvoir s’objecter sur des points relevant du secret professionnel.Rappelons qu’à la suite d’une réunion tenue le 8 février 2022, la Ville de Saguenay avait demandé au tribunal de participer aux audiences, afin de protéger son secret professionnel.
Ce point relève du fait que la Ville avait raison de craindre que des propos liés à cette rencontre soient mentionnés par les témoins, apprend-on dans le Quotidien, d’autant plus que l’avocat de M. Roberge, Me Marius Ménard, semble vouloir baser sa défense sur les propos tenus lors de la rencontre
Rappelons qu’en justice, le droit au secret professionnel, bien que sérieux, peut être levé si la situation l’exige. Le 92,5 a d'ailleurs tenté de recueillir les commentaires des parties en lien avec la décision de l'honorable juge Pilote, nos tentatives sont toutefois demeurées vaines.
La date fixée pour la reprise du procès de Jean-Luc Roberge a été fixée au 25 février prochain, à Chicoutimi, alors que trois jours sont prévus pour forger la preuve de l’ex-dg.
(418) 546-2525
ckaj@ckaj.org