Depuis la réouverture des bars, plusieurs femmes ont été victimes de la drogue du viol dans des bars de Chicoutimi et aucune plainte n’a été faite à la police.
Dans une enquête du Quotidien, le porte-parole de la police, Luc Tardif, explique que les victimes ne doivent pas se gêner et que dès que les gens ont l’impression d’avoir ingéré une substance sans leur consentement, il faut avertir des amis ou le personnel du bar et téléphoner aux policiers.
La Maison Isa offre aussi des formations aux employés d’établissements de ce genre sur comment intervenir et réagir face à des victimes de la drogue du viol.
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