Nouvellement mis en place par le gouvernement Legault, le Protecteur national de l’élève a dressé les grandes lignes du bilan de sa première année d'opération. On y apprend que plus de 1 000 plaintes ont été déposées durant cette première année, dont près de 20% des motifs sont en lien avec de la violence dans les écoles du Québec. 

Ces motifs de plaintes liés à la violence peuvent représenter des gestes de nature sexuelle, physique et psychologique.

Le Protecteur national de l'élève, en place depuis seulement un an, est responsable du mécanisme de traitement des plaintes et des signalements dans le réseau scolaire.

Questionnés par des membres de la salle des nouvelles du 92,5, peu de parents ne connaissent toutefois pas son existence.