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Au troisième jour de la campagne fédérale, des allégations d’ingérence étrangère ont remis en doute l’intégrité de l’ascension de Pierre Poilièvre lors de la course à la direction du Parti conservateur en 2022. Dénonçant une « fuite politique » du camp libéral, le chef conservateur a rejeté ces allégations d’un revers de main, avant de rediriger le débat sur les « conflits d’intérêts » du chef libéral, Mark Carney.
Le Devoir rappelle que M. Poilievre réagissait ainsi aux allégations publiées le matin même dans le Globe and Mail, selon lesquelles des agents du gouvernement de l’Inde auraient été impliqués dans de la collecte de fonds et de l’organisation en sa faveur dans la communauté sud-asiatique lors de la course à la direction il y a trois ans. Le Service canadien du renseignement de sécurité n’a toutefois pas de preuve à savoir si Pierre Poilievre et son entourage étaient au courant de ces actions alléguées, indique la source citée par le quotidien torontois.
Rappelons que la semaine dernière, en mêlée de presse à Saguenay, le chef Poilièvre a défié Mark Carney de dévoiler publiquement les éléments financiers risquant de le placer en situation de conflits d’intérêts.
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