Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.
Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ...
Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.
C’est le début ce lundi du procès de Gilbert Rozon, poursuivi au civil par neuf présumées victimes, en lien avec des agressions sexuelles et des viols qu’elles auraient subi.
Ces dernières réclament 14 M$. Le tout survient au palais de Justice de Montréal, sept ans après les premières dénonciations visant le fondateur de « Juste pour rire ». Mentionnons que les neuf personnes avaient intenté individuellement leurs démarches judiciaires, au bout desquelles un juge a statué qu’il n’y aurait qu’un seul procès regroupant les neuf présumées victimes. Le procès de Gilbert Rozon est prévu pour environ 43 jours, pour se terminer en mars prochain.
Rappelons qu’il s’agit d’une 3e tentative contre l’homme d’affaires pour le faire reconnaître coupable, lui qui avait été acquitté au criminel.
(418) 546-2525
ckaj@ckaj.org