Les excuses du pape n’auraient pas inclus les tombes anonymes. Selon le chef cri du Manitoba, David Monias, elles auraient dû mentionner les tombes anonymes à l’égard des abus commis sur les élèves des pensionnats autochtones.
Pimicikamak fait partie des multiples communautés des Premières Nations à entreprendre des recherches et fait affaire avec un chercheur afin de trouver les noms complets d’environ 85 enfants décédés lors de leur scolarité au pensionnat. L’histoire doit être racontée et surtout, ne pas être oubliée. Un monument permanent sera érigé pour honorer les enfants qui ont été dans des pensionnats.
Pimicikamak a invité le gouvernement, l’Église catholique du Manitoba et du Vatican à intégrer les recherches avec eux et le pape François a confirmé qu’il allait s’y rendre, mais n’a pas donné de dates.
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