Les employés syndiqués du Ministère des Transports en ont ras-le-bol: ils sont tannés d’être obligés de faire leurs besoins en pleine nature, sur les lieux des chantiers où ils sont appelés à œuvrer. 

Dans un communiqué émis lundi, le Syndicat de la Fonction Publique et Parapublique du Québec (SFPQ)  “appelle un chat un chat”, en mentionnant que les travailleurs et les travailleuses sont dans l’obligation d’uriner et de déféquer dans la nature, car l’employeur ne leur donne pas accès à des installations sanitaires. Le président du SFPQ, Jimmy Tremblay, trouve la situation particulière et inacceptable. 

Jimmy Tremblay réclame donc au Ministère des correctifs urgents, en espérant que la honte de cette sortie médiatique l’incitera à remédier immédiatement à cette situation scandaleuse.