La fièvre immobilière semble perdre sa vigueur, la baisse des ventes et de mises en chantier de résidences pourrait connaître un recul de 21% en 2023, selon ce qu’estime l’APCHQ.
Malgré la présence de la demande, les taux d’intérêt ralentissent l’ardeur des acheteurs et du marché. Selon les observateurs, le locatif sera davantage pénalisé. L'absence de constructions locatives pourrait aussi contribuer à la croissance de la pénurie de logements. Il faudra vraisemblablement attendre jusqu’en 2024 pour assister à relance du marché.
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