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Le vendredi 24 mai marque la journée comme étant celle de la Journée nationale de sensibilisation à la schizophrénie et à la psychose.
Comme mentionné mercredi par voie de communiqué, la schizophrénie touche environ 85 000 personnes au Québec et pourtant, elle reste stigmatisée au sein de la société. Pour remédier à la situation, une équipe de recherche du Centre de recherche en santé durable et du Centre CERVO s’est intéressée à l’impact des troubles du spectre de la schizophrénie.
Les résultats ont démontré que les personnes atteintes ont moins de facilité à se faire comprendre, elles n’arrivent pas à susciter autant d’intérêt de leur interlocuteur face à ce qu’elles racontent et sont souvent perçues comme étant moins expressives. Selon les chercheurs, cela pourrait avoir un impact important sur leurs interactions sociales au quotidien, et donc sur leur inclusion dans la société. L’étude amène des pistes de solutions pour les personnes atteintes, mais aussi pour l’entourage et les équipes de soins qui ont aussi un rôle à jouer pour faciliter les interactions et l’inclusion. La journée nationale de vendredi soulignera donc les défis que doivent affronter ces personnes
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