Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.
Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ...
Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.
Olivier Charbonneau a subi une vasectomie à 27 ans, par choix. L’étudiant à l’École du Barreau a raconté son histoire sur Facebook, en marge du renversement de l’arrêt Roe c. Wade aux États-Unis. La vasectomie d’Olivier n’a pas fait l’unanimité dans son entourage. C’est une pratique assez rare chez quelqu’un d’aussi jeune.
Selon La Presse, beaucoup lui disaient qu’il était « trop jeune » ou qu’il « allait le regretter », rapporte-t-il dans une publication qui a été partagée des centaines de fois sur Facebook cette semaine.
« La responsabilité de la contraception n’incombe pas seulement aux femmes, mais à nous aussi, les hommes », leur répond-il.
« Il y a aussi un aspect social : ça permettait à ma future partenaire de ne pas avoir besoin de méthodes chimiques. Je ne veux pas imposer ce type de contraceptif », ajoute le jeune homme, qui souhaite éviter à ses partenaires leurs effets secondaires indésirables.
(418) 546-2525
ckaj@ckaj.org