C’est en 1999 que l'Assemblée générale des Nations Unies proclame le 25 novembre, comme étant la journée internationale sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes.
Le but de cette journée est d’organiser des activités destinées à sensibiliser l’opinion publique à ce phénomène. Heureusement pour les victimes de ce fléau, des centres d’aide ont été créés, comme la maison d’accueil et d’hébergement La Chambrée de Jonquière. Écoutons la directrice générale, Annie Laviolette, nous parler de la mission de l’organisme.
Si le mouvement #MeToo a contribué à pousser les femmes à dénoncer leurs agresseurs, il n'en reste pas moins que certaines hésitent encore, par peur de représailles. Mme Laviolette est d'avis que la dénonciation reste le meilleur moyen d'éviter l'irréparable, non seulement de la part des victimes, mais aussi de la part de ceux qui en sont témoins.
La violence conjugale est souvent le résultat du contexte dans lequel les victimes évoluent. La précarité est de plus en plus présente, ce qui ne fait que renforcer la problématique. La directrice générale ne cache pas que des actions concrètes doivent être prises afin d’offrir une vie meilleure à celles qui la subissent.
Voici la version corrigée :
Si vous ou une femme de votre entourage êtes victime de violence physique, verbale ou psychologique, vous pouvez faire appel aux services gratuits de La Chambrée, 24 heures sur 24, en composant le 418-547-7283 ou en visitant le site lachambree.com.
(418) 546-2525
ckaj@ckaj.org