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Détatouage par ablation chirurgicale: l’histoire de Janick Martel, résidente d’Alma  

Sara-Léa Bouchard - Le Réveil - Trium Médias
23 février, 2025
Le détatouage par chirurgie subi par la résidente d’Alma Janick Martel, dans les années 80. La cicatrice est toujours apparente là où l’incision a été effectuée, sur son épaule gauche. (Photo: courtoisie Janick Martel)

Une ablation chirurgicale, c’est ce qu’a vécu l’Almatoise Janick Martel dans les années 80, alors qu’elle voulait se faire retirer un tatouage de la grosseur d’un 25 cents sur son bras. Une expérience qui lui aura laisser une petite cicatrice, et un 450 $ en moins dans son portefeuille.  

« D’abord, le tatouage en soi avait été effectué avec ce qui pourrait ressembler à un crayon rempli d’encre. C’est certain que je ne m’étais pas fait faire un aigle sur le bras, c’était beaucoup plus petit, mais j’ai tout de même été contrainte d’avoir une greffe pour le faire disparaître », se remémore Mme Martel, en entrevue téléphonique avec le journal Le Réveil.  

Oui, une greffe de peau est l’option qui avait été choisie. « Je l’avais fait quand j’étais assez jeune, puis en partant pour l’université à Sherbrooke, je trouvais que ça n’avait plus rapport et je voulais le faire enlever. Je me suis alors informé et pris un rendez-vous avec un médecin, qui m’a dit que la seule façon de le retirer complètement était en le faisant chirurgicalement », ajoute-t-elle.  

La zone tatouée de son bras a donc été engourdie par injection d’un anesthésique local. Puis, le tatouage a été extrait à l’aide d’un scalpel. Dans certains cas, les bords de la peau sont seulement recousus ensemble, ce qui n’a pas été le scénario envisagé pour Janick Martel. En effet, un lambeau de peau provenant de sa hanche lui a plutôt été retiré pour fermer la plaie. « La plaie qui s’était formée sur ma hanche après l’intervention devait ensuite guérir à l’air libre. Je devais mettre une pommade antibactérienne pour favoriser la cicatrisation après », précise-t-elle.    

Une solution moins douloureuse que le laser  

L’élimination chirurgicale des tatouages, à cette époque, était souvent effectuée au laser, une technique qui pouvait souvent brûler la peau. « Le laser à ce moment-là n’était pas encore assez puissant et beaucoup de séances étaient nécessaires pour ne retirer que partiellement les tatouages. Tandis que la greffe, en prenant en considération la grosseur de mon tatouage et la profondeur de l’encre, n’était pas vraiment une méthode douloureuse », explique Janick Martel.  

Certains tatouages ne peuvent être retirés que par une intervention chirurgicale, ce pourquoi cette méthode est encore appliquée de nos jours. Bien entendu, la technologie a grandement évolué et l’utilisation du laser est devenue aujourd’hui la technique la plus efficace et rapide pour effacer un tatouage, ainsi que la plus fréquemment recommandée par les professionnels.  

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