Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.
Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ...
Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.
Les enseignants ont décidé de prendre le taureau par les cornes: ils réclament davantage de français en classe et le bannissement du cellulaire en classe, sauf pour un usage pédagogique. C’est le résultat d'une vaste consultation lancée par la Fédération des syndicats de l’enseignement, auprès de plus de 7 000 enseignants. 92% d’entre eux sont en faveur de ces mesures.
Rappelons que le tout fait suite à une étude parue plus tôt cette semaine où on apprenait qu’au Québec un élève sur deux en secondaire 5 échouait son français écrit aux examens du ministère l’an dernier. Pour revenir à l’interdiction demandée, elle vise à réduire les distractions.
Plusieurs enseignants craignent aussi d’être enregistrés ou filmés à leur insu par leurs élèves. Le ministre de l’Éducation Bernard Drainville a déclaré être ouvert à y réfléchir.
(418) 546-2525
ckaj@ckaj.org