Selon certains scientifiques, le bénéfice climatique de certains projets dans des forêts au Canada et aux États-Unis serait grandement surestimé.

Les forêts, qui sont une pièce maîtresse du marché du carbone commun du Québec et de la Californie, sont revendiquées par les grands pollueurs du Québec qui veulent compenser leurs émissions. 

Jusqu’à décembre dernier, la grande majorité des crédits compensatoires du marché commun sont issus de projets forestiers, et tous ont été réalisés aux États-Unis, car le Québec ne disposait pas d’un protocole pouvant délivrer lui-même les crédits carbone.

Le gouvernement québécois reste confiant et se range derrière la position de ses partenaires californiens dans ce dossier, ayant la pleine confiance en la qualité de tous les crédits compensatoires émis par le California Air Resources Board.