À l’image du scénario qui a été vécu récemment alors que de jeunes adolescentes de la région sont la cible de publications malveillantes, des jeunes d’âge mineur à l’origine de ces publications et qui éprouvent un malin plaisir à intimider d’autres jeunes via les réseaux sociaux comme Tik Tok s’exposent directement à des risques de poursuites judiciaires.
C’est l’avis de l’avocat criminaliste Charles Cantin que nous avons reçu dans « Le retour du 92,5 ». Mineure ou pas, la personne pourrait avoir à assumer les conséquences de ses actes. Charles Cantin parle des scénarios possibles.
Charles Cantin parle aussi des dommages collatéraux qui pourraient être lourds de conséquences pour un ou des jeunes qui se feraient accuser.
Que les parents se le tiennent pour dit : eux aussi dans une certaine mesure pourraient avoir à répondre des actes de leurs enfants.
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