Le conseiller municipal de Saguenay, Claude Bouchard, qui occupe aussi la présidence du CA de la Société de transport du Saguenay (STS), ne veut pas ou ne peut pas expliquer pourquoi la fameuse clause de renouvellement automatique du contrat de l’ex-DG Jean-Luc Roberge a fait l’effet d’une «boîte à surprises» au sein des membres du CA.
Rappelons que mercredi, aux audiences du Tribunal administratif du Travail (TAT) concernant le congédiement de M. Roberge, Claude Bouchard s’est dit «sidéré» quand il a compris en septembre 2021 que les quatre membres du conseil d’administration en place, notamment les conseillers municipaux Jean-Marc Crevier et Michel Tremblay, ne savaient pas que le contrat contenait cette clause de renouvellement. Questionné par la salle des nouvelles du 92,5 Ma radio d’Ici, M. Bouchard a refusé de donner les explications quant à cette «méconnaissance» de la fameuse clause. Claude Bouchard précise qu’éventuellement l’explication viendra, mais pas pour le moment, voulant entre autres prendre le temps de discuter de cet aspect avec l’avocat au dossier.
Rappelons que les audiences au Tribunal administratif du Travail (TAT) se poursuivent, en ce qui a trait au fait que l’ex-dg de la STS, Jean-Luc Roberge, conteste le congédiement dont il a fait l’objet par la Ville de Saguenay.
(418) 546-2525
ckaj@ckaj.org