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Durant le conseil de ville du 7 février, plusieurs citoyens de la ville de Saguenay se sont présentés au microphone pour faire entendre leur préoccupation concernant l’érosion des berges.
Il s’agit d’un dossier assez complexe pour les résidents et les élus de Saguenay, car il s’agit d’une compétence qui est partagée et qui se situe dans une zone floue concernant la gestion des berges.
Un citoyen du secteur du boulevard Tadoussac, Jean-Guy Maltais a d’ailleurs invité chez lui et pour une rencontre, la ministre des Affaires municipales et responsable du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Andrée Laforest, qui a décliné les deux invitations en soulignant qu’il s’agissait d’une responsabilité partagée.
Plusieurs autres citoyens ont parlé de la gestion des berges sur des terrains plus spécifiques, de certains chemins et des maisons qui sont à risque en raison de l’érosion.
Le conseiller municipal du district 15 de l’arrondissement de La Baie, Martin Harvey, a d'ailleurs répondu de manière très expressive en soulignant que le gouvernement du Québec « garoche des choses sur le dos (de la ville de Saguenay), mais l’argent ne suit pas ».
Les élus municipaux de la ville de Saguenay avaient plus tôt, durant la séance du conseil de ville, adopté de manière unanime une demande pour mettre sur pied une aide aux gens qui veulent travailler l’érosion sur leur terrain par le gouvernement du Québec.
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