Les trois jours d’audiences du Tribunal administratif du travail (TAT), prévus les 18, 19 et 20 juillet à l’hôtel La Saguenéenne à Chicoutimi, à l’égard de l’ancien directeur général de la Société de transport du Saguenay (STS), Jean-Luc Roberge, ont été suspendus. 

En date du 17 juillet, les audiences devaient toujours avoir lieu, jusqu’à temps que des documents soient transmis à la juge administrative Caroline Gagnon, qui a décidé d’annuler le procès. Il n'est toujours pas possible pour l’instant de connaître la nature des documents en question, puisque ceux-ci ont été placés sous une ordonnance de non-divulgation. 

Jusqu’à maintenant, personne n’a voulu commenter l’affaire, dont le président du conseil d’administration de la société de transport, Claude Bouchard, ainsi que Jean-Luc Roberge lui-même, parce qu’il est tenu sous silence.