En cette fin de session à l’Assemblée nationale, les parlementaires ont choisi de mettre un terme à l’étude du projet de loi visant à élargir l’accès à l’aide médicale à mourir. Dans une sortie commune, les formations politiques ont pris l’engagement de reprendre le travail « là où ils l’ont arrêté » après les élections générales.
Le projet de loi 38 aurait notamment permis aux personnes souffrant de maladies graves et incurables, comme l’Alzheimer, de formuler une demande anticipée d’aide médicale à mourir, un enjeu qui fait consensus au Québec. Mais la complexité de son application a rattrapé les parlementaires, qui ont manqué de temps, ne voulant surtout pas « tourner les coins ronds », ont-ils dit.
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