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Roxanne Boivin était détenue depuis dimanche à l’aile psychiatrique de l’hôpital de Chicoutimi, d’où elle a comparu par visioconférence. Avant de commettre ses derniers crimes, elle y avait séjourné.
Le procureur des poursuites criminelles, Pier-Alain Lalancette, l’accuse de vols qualifiés armés d’une seringue le 18 décembre, de voies de fait sur des agents de la paix et de bris d’engagement, car elle était sous conditions pour 15 dossiers de vols, menaces, introductions par effraction, bris et possession de stupéfiants.
Étant donné l’état mental de sa cliente, Me Julien Boulianne a indiqué qu’il souhaitait la référer au Programme d’accompagnement justice et santé mentale (PAJ-SM), après l’avoir envoyée en thérapie fermée. Les ressources adéquates étant difficiles à trouver en cette période des Fêtes, Me Boulianne a demandé que la cause soit remise au 10 janvier.
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