Le Service de transport du Saguenay (STS) poursuit son ex-directeur général Jean-Luc Roberge pour une somme de 200 000$. La raison donnée pour cette somme de dédommagement serait des procédures judiciaires jugées inadmissibles. 

Le Quotidien mentionne qu’une ordonnance de non-publication empêche les médias de divulguer la nature des procédures entamées en 2023, qui avaient été rejetées en février dernier par la Cour supérieure.

L’avocat de la STS, Me Félix-Antoine Michaud a déclaré que ces dites procédures avaient ralenti le processus judiciaire en plus de causer une grande quantité de frais d’avocats du côté de la société de transport. 

Des litiges ont aussi eu lieu durant la présentation de la preuve de Jean-Luc Roberge, hier. Litige qui est en lien avec deux témoins qui avaient déjà été interrogés et contre-interrogés au courant de l’été dernier.

Les audiences du procès reprendront le 17 décembre prochain.

Rappelons qu’en juillet dernier, le premier avocat de M. Roberge avait abandonné le cas, retardant les audiences jusqu’à ce que Me Marius Ménard prenne les rênes du dossier en août. Jean-Luc Roberge conteste son congédiement du poste de directeur-général de la STS (survenu en 2022) devant le Tribunal administratif du travail depuis plus d’un an.